mercredi 28 octobre 2009

ça casse pas trois pattes à un canard ...

Une récompense à qui aura compris la réponse de Jean-Charles Houel au café radical !

Pour ceux qui veulent suivre, je donne même le lien que vous pouvez joindre en cliquant là.

Ceux qui souhaitent suivre l'argumentation croisée se référeront à mon blog en cliquant
ici.

Pour ma part, je n'ai compris qu'une chose : Jean Charles Houel a souhaité répondre, mais il ne contredit absolument pas ce qui a été écrit sur ce blog.

De trop nombreuses lignes trouver deux éléments nouveaux dans le débat que nous commentons ci-après (je passe sur les attaques ad personae qui glissent comme sur les plumes d'un canard ...).

Jean-Charles Houel accuse le café radical de dire des contrevérités...mais il lui donne raison.

En disant que ce n'est pas Bernard Amsalem qui a contracté avec la Cge, mais l'ancien maire du Vaudreuil, alors président de l'Etablissement public qui devait donner naissance à la Ville Nouvelle, il confirme bien qu'il y avait délégation de service public. Comme le café radical continue de l'affirmer, il y a bien eu nouvelle signature d'un contrat de 30 ans par le maire de Val de Reuil en 1992, et il ne s'agissait pas de M Chèdeville ... Signalons aussi que Val de Reuil est un exemple national en matière de service public délégué (pour que le lecteur comprenne bien, le service public délégué est ce que l'association de Jean Charles Houel appelle "service public privatisé")... A Val de Reuil, même les espaces verts sont privatisés. C'est pas courant !

Autre argutie incompréhensible : l'attaque contre les verts. Les Verts répondront aux attaques... Mais on voit bien que ce qui chagrine Jean Charles, c'est précisément que les Verts ne les suivent pas sur le terrain glissant de la rancoeur stérile...

De mémoire, il n'y a pas eu que Pascal Labbé à remettre en cause la gestion privée de l'eau par la communauté d'agglomération. Tout le monde l'a remis en cause... et Franck Martin en premier, et toute l'équipe aussi. D'une manière très pragmatique, il a été fait appel à un bureau d'études indépendant, Service Public 2000, recommandé par des écologistes. Résultat des courses : l'intérêt des lovériens et des autres habitants de la l'agglomération, recommandait de ne pas remettre en cause les concessions de service public que la Case devait reprendre.

Passons !..

Il y a quelque chose de pathétique à voir un socialiste donner des leçons d'écologie, de verdure à un militant vert dévoué à sa cause et indépendant depuis tant d'années.

Pour notre part, nous attendons toujours des réponses de fond aux arguments que nous avons avancé dans notre dernier blog....

Pour l'instant, dans ce que nous lisons dans la presse ou sur le blog de Jean-Charles Houel, pas de quoi casser trois pattes à un canard.


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